« Ca va comme un samedi… même le lundi ! », édité en 2018 aux éditions Leduc.s, n’est pas un livre de développement personnel ordinaire. Sectionné en 25 situations de vie, il analyse les réflexes pessimistes du quotidien et donne des solutions adaptées pour atteindre l’optimisme, par le défis. Son auteur, Jean-Luc Hudry, est un ancien chef d’entreprise, aujourd’hui conférencier dans le domaine de l’optimisme opérationnel, de la motivation et du leadership. Auteur de plusieurs ouvrages, il est aussi speaker de la Ligue des Optimistes de France.
« Ca va comme un samedi… même le lundi ! » n’est pas un livre de développement personnel comme les autres. L’auteur, Jean-Luc Hudry, prend soin d’exposer des contextes de vie quotidiennes, à la fois particuliers et communs, provoquant un effet de catharsis en chacun. Composé en 5 representation de vie : les imprévues, la fatalité, le manque de chance, la passivité et l’arrogance, cet ouvrage permet à quiconque de transformer son quotidien en purs moments d’optimisme, afin d’atteindre le positivisme. Dans ce livre, les lectrices trouveront un décryptage des réflexes pessimistes et la façon de s’en défaire, des solutions adaptées pour adhérer à l’optimisme et des défis à relever.
« Quand on est dans une démarche de vie fondée sur l’optimisme, on attire ce que j’appelle le ‘positivisme’ : les belles choses arrivent naturellement à soi. » Philippe Croizon, préface du livre.
Le pessimisme, un effet du cartésianisme ?
Oui ! Nous sommes des pessimistes mais nous ne le valons pas bien ! Ce réflexe vient du fait que l’on nous éduque à être pessimiste. Il est imposé comme tel, par les journaux télévisés, dans la presse en général, à l’école…Le pessimisme devient culturel ! C’est pourquoi aujourd’hui, notre société compte 90 % de pessimistes et seulement 10 % d’optimistes.
On se crée donc cette réalité pessimiste et on aime l’entretenir, comme une normalité constitutive. Selon le philosophe Michel Lacroix, le pessimisme naîtrait de l’influence du cartésianisme, qui place l’exercice du doute et de la critique systématique au centre de nos préoccupations. Déroutant, non ?
Le bonheur est une productivité quotidienne
Pour être une entrepreneure accomplit, mieux vaut être optimiste. La cheffe d’entreprise, étant la seule maîtresse au commande de son entreprise, est donc la seule à pouvoir donner des orientations et des stratégies positives à sa structure. Comment faire ? En changeant les règles et sa façon de penser. C’est du moins ce que nous indique « Ca va comme un samedi…même le lundi ! ». L’accession au bonheur ne doit plus être attendue mais être une productivité quotidienne. L’échec, également, ne doit plus être perçu comme tel mais comme un moyen de parfaire son parcours de cheffe d’entreprise. Vivre la positivité de manière consciente, ne signifie pas vivre dans un monde à part. Cela signifie juste que l’on ne souhaite pas être pollué par son environnement. Il faut donc impérativement assainir ses relations avec les autres.