À l’heure où les retours du GIEC ( le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat) annoncent une accélération du réchauffement climatique et de ses conséquences sur notre planète, de nouveaux types de structures apparaissent : les entreprises contributives. Plus écoresponsables, plus socialo-responsables, plus durables… C’est là, toutes les valeurs de ces nouvelles entreprises.
Une entreprise contributive, c’est avant tout, une structure qui met tout en œuvre pour laisser l’environnement propre et net. Elle se distingue sur plusieurs niveaux :
- son modèle d’affaire. Pour elles, c’est l’environnement qui prime. Voire même, sa régénération. Dans ces entreprises, il ne faut pas faire mieux. Il faut faire bien ! Le tout, en ayant un impact le plus négatif possible ;
- ses statuts. Pour les entreprises contributives, il est important de faire apparaître ces enjeux économiques, sociaux et environnementaux. C’est la base même de leur existence ;
- son innovation. Leur innovation oblige à remettre en perspective les actions d’utilité réelle pour les parties prenantes, tout en préservant les ressources naturelles.
Les entreprises contributives jouent donc sur le faire autrement.
Les entreprises contributives, un modèle de changement ?
Et pour faire autrement, il faut un procès itératif. Ce sont les méthodes, pour atteindre les objectifs, qui comptent dans le cheminement des entreprises contributives. Notamment parce qu’elles (ré)inventent leur système de production et de solution : c’est le cas du up-cycling aujourd’hui, très en vogue par les grandes structures.
Une façon pour les entreprises contributives de se réconcilier avec leurs convictions et leurs actions. Ce qui inclut de repenser l’intégralité du système et de tout changer. Tous les facteurs d’une entreprise concernés. Tous les secteurs d’activité aussi.
Aujourd’hui, les clients considèrent que l’entreprise contributive est un besoin latent. La planète, elle-même, ne peut plus attendre. À quand donc les changements de comportements et les entreprises au service de la Terre ?